STÉPHANE KERECKI

LEADER CONTREBASSISTE - JAZZ ACOUSTIQUE MODERNE

PRIX DU DISQUE DE L’ANNÉE 2022 – ACADEMIE DU JAZZ

www.stephanekerecki.com

À l’aube de la cinquantaine, Stéphane Kerecki recueille les fruits d’une patiente obstination : peaufiner son art et servir la musique avant toute chose. 
Il s’impose tranquillement comme l’une des valeurs les plus sûres du jazz hexagonal.

Son son de contrebasse, l’un des plus beaux qu’il soit donné d’entendre, et sa musicalité font de lui l’un des accompagnateurs les plus recherchés (Jacky Terrason, Yaron Herman, Bojan Z, Jacques Schwartz-Bart), mais c’est depuis quelques années en tant que leader et compositeur qu’il s’est révélé, apportant une vision sereine, une intégrité et une douceur, sur les mondes du jazz moderne. Son duo avec le pianiste John Taylor a été encensé par la critique. Son opus « Sound Architects » (Out Note) était choisi par le journal Libération comme l’un des albums de jazz de l’année 2012. En 2014, son opus « Nouvelle Vague », une adaptation des musiques de films de la Nouvelle Vague, lui vaut de nombreuses récompenses : Prix de l’Académie du Jazz du Meilleur Disque de Jazz Français, Victoire du jazz du Meilleur Disque de l’Année 2015, et recommandations dans la presse « Selection» JAZZ NEWS, Choc de Jazz Magazine, FFFF Télérama.

En septembre 2018 sort son nouvel album intitulé « French Touch », cette fois une relecture raffinée de grands tubes de la French touch électronique signés Daft Punk, Justice, Air… avec de merveilleux solistes et accompagnateurs : Emile Parisien ou Julien Lourau au saxophone, Fabrice Moreau à la batterie, Jozef Dumoulin au piano et Fender-Rhodes.

À la faveur du confinement du printemps 2020, il travaille en collaboration avec le pianiste Thomas ENHCO à l’élaboration d’un nouveau répertoire et à la préparation d’un disque. Les premiers concerts ont eu lieu en octobre 2020 dans le cadre du Tourcoing Jazz Festival.

En mai 2020, Stéphane Kerecki publie l’album OUT OF SILENCE (Out note record) sur lequel il réunit un casting de toute première classe: le grand pianiste américain Marc Copland, le trompettiste Ralp Alessi, le saxophoniste norvégien Tore Trunborg, et Fabrice Moreau à la batterie. Ce disque obtient le Prix du Disque Français (Meilleur disque de l’année) décerné par l’Académie du Jazz.

Pour 2025, Stéphane Kerecki prépare un nouvel album et un nouveau groupe qui s’intitulera Libération Quartet en hommage au Liberation Music Orchestra du grand maître de la contrebasse Charlie Haden, en s’entourant d’une nouvelle équipe : Enzo Carniel au piano, Paul Jarret à la guitare, Fabrice Moreau à la batterie, et quelques invités.

PROCHAINS CONCERTS

    LES PROJETS

    COPLAND-KERECKI-MOREAU

    Marc Copland, piano
    Fabrice Moreau, batterie
    Stéphane Kerecki, contrebasse

    Depuis longtemps, Marc Copland est l’un des pianistes majeurs de la scène internationale et, à 75 ans, il est au sommet de son art. Longtemps compagnon de route de Gary Peacock (dans ses propres disques comme dans ceux du bassiste) il a aussi diversifié ses collaborations, aux Etats-Unis comme en Europe où il aime jouer avec les meilleurs musiciens européen.
    L’occasion pour Stéphane Kerecki qui avait déjà entretenu une relation forte avec le grand pianiste anglais John Taylor, de construire un nouveau dialogue fécond.

    LIBÉRATION QUARTET

    Enzo carniel, piano
    Paul Jarret, guitare
    Fabrice Moreau, batterie
    Stephane Kerecki, contrebasse

    Guests :
    Airelle Besson : trompette
    Thomas Savy : clarinette Basse
    Saxophone : TBC

    Charlie Haden est l’un des musiciens de jazz que j’ai le plus écouté, et peut-être l’artiste qui m’a le plus influencé. A l’heure où disparait son ami et producteur Jean-Philippe Allard, je me suis replongé dans son immense discographie. Ce sont ses débuts en tant que chanteur qui me viennent d’abord à l’esprit. J’ai toujours pensé que c’était la raison pour laquelle ce contrebassiste me touchait autant, parce que le chant fut mon premier instrument, à l’âge de huit ans, alors que rien ne me prédestinait à être musicien.

    C’est surtout avec son « Libération Music Orchestra » que Haden m’a marqué, avec les arrangements de Carla Bley, où il reprend en 1970 des chants révolutionnaires d’Amérique du Sud, de la guerre d’Espagne et de libération du Portugal, entouré de figures de la musique free (Don Cherry, Gato Barbieri, Dewey Redman, Paul Motian). Il poursuivra ensuite l’aventure de cet orchestre, toujours en réaction à des événement politiques (les deux guerres du Golfe notamment), s’inscrivant toujours dans une musique libertaire et engagée.

    Charlie Haden laisse une empreinte forte sur le jazz, du free des années 70 à un jazz imprégné de musique folk américaine, jusqu’au jazz contemporain, inspirant toujours de jeunes musiciens. Il a réussi l’exploit d’imposer une voix singulière, à contre-courant des excès de vélocité des contrebassistes des années 80, fondée sur la simplicité, la liberté, la profondeur du son et l’intense contenu émotionnel de chacune des notes jouées.

    Et dans le contexte que nous connaissons aujourd’hui, en France et dans le monde, il me semble urgent et essentiel que nous prenions la parole pour rappeler, comme l’a fait Charlie Haden, les valeurs d’humanisme, de solidarité, de fraternité, qui sont véhiculés par la musique que nous jouons et par le Jazz en général.

    Stephane Kerecki

    STÉPHANE KERECKI «OUT OF SILENCE »

    NOUVEL ALBUM
    Chez OUTNOTE Records / OUTHERE distribution, début mai 2022

    Marc Copland, piano
    Ralph Alessi, trompette
    Tore Brunborg, saxophone ténor
    Fabrice Moreau, batterie
    Stéphane Kerecki, contrebasse

    À l’aube de la cinquantaine, Stéphane Kerecki recueille les fruits d’une patiente obstination : celle de peaufiner son art et servir la musique avant toute chose. Il s’impose aujourd’hui comme l’une des valeurs les plus sûres du jazz hexagonal : le son de sa contrebasse, l’un des plus beaux qu’il soit donné d’entendre, et sa musicalité font de lui l’un des accompagnateurs les plus recherchés (Daniel Humair, Anne Paceo, Yaron Herman, Jacques Schwartz-Bart, Airelle Besson…). Mais c’est depuis une quinzaine d’années qu’il s’est révélé en tant que leader et compositeur.

    Son duo « Patience » avec le pianiste John Taylor (Outnote) a été encensé par la critique (Choc de l’année Jazz Magazine). Son opus « Sound Architects » (Outnote) a été choisi par le journal Libération comme l’un des trois meilleurs albums de jazz de l’année 2012. En 2014, son opus «Nouvelle Vague», une adaptation des musiques des films du mouvement du même nom, lui vaut de nombreuses récompenses : Prix de l’Académie du Jazz du Meilleur Disque de Jazz Français, Victoire du jazz du Meilleur Disque de l’Année 2015, Talents Jazz ADAMI, et dans la presse, « Sélection» JAZZ NEWS, Choc de Jazz Magazine, FFFF Télérama… Puis vient « French Touch », en 2018, qui est une relecture raffinée de grands tubes de la musique électronique signés Daft Punk, Justice, Air… (Choc Jazz magazine)

    Nul doute que ce nouvel opus recevra un bel accueil, car sur un répertoire entièrement composé pour l’occasion, Stéphane Kerecki s’offre un casting de rêve. A son partenaire privilégié sur ses trois derniers disques, le batteur Fabrice Moreau (Airelle Besson, Trio Viret), s’ajoutent deux musiciens américains et un musicien norvégien : Marc Copland est depuis une quarantaine d’années l’un des pianistes importants de la scène new yorkaise, avec notamment des collaborations marquantes avec Gary Peacock, David Liebman, Randy Brecker, John Abercrombie. Le saxophoniste Norvégien Tore BrunBorg (Manu Katché, Nils Petter Molvær, Jon Christensen, Tord Gustavsen) envoute grâce à un son et un lyrisme hors du commun et le trompettiste Ralph Alessi (Ravi Coltrane, Fred hersh, Charlie Haden) est de l’avis de ses pairs l’un des plus brillants trompettistes de la scène internationale, partenaire de jeu de l’avant-garde New-Yorkaise.

    A travers un tel all-star, Stéphane Kerecki met en jeu sa sensibilité et fait une grande place à l’interaction avec des partenaires de haut vol. A travers des compositions centrées sur la mélodie, il fait des références subtiles au jazz lyrique des années 90 qui a marqué son apprentissage (Kenny Wheeler, John Abercrombie, Charlie Haden, Gary Peacock, John Taylor…)

    LA PRESSE EN PARLE !

    « Saluons donc Stéphane Kerecki, dont la sonorité ronde et sensuelle nous transporte d’aise. » Jazz Magazine « CHOC »

    « Puisse les Daft Punk, Justice et Kavinsky écouter ce disque sans précédent : le genre pop qu’ils incarnent, la French Touch, est jazzé corps et âme par quatre des meilleurs représentants de la nouvelle vague du jazz made in France. Ils n’en reviendront pas. » Jazz Magazine « CHOC »

    « Avec Emile Parisien (soprano), Fabrice Moreau (batterie) et Jozef Dumoulin (claviers), le contrebassiste Stéphane Kerecki réinvente ainsi cette « French Touch » avec autant de goût que de raffinement.» TÉLÉRAMA SORTIR

    « Faire du jazz avec un morceau si sexy-chocolat que «Lisztomania » de Phoenix il fallait oser. Le dépouiller de ses oripeaux dancefloor aussi. Mais le contrebassiste Stéphane Kerecki n’a peur de rien. Marqué par la disparition du pianiste John Taylor, il a remanié le groupe qu’on entendait sur la Nouvelle Vague (2014), enrôlé Jozef Dumoulin aux claviers, Fabrice Moreau aux drums et l’incontournable Emile Parisien au soprano. Le pitch ? Reprendre le meilleur de la French Touch (Air, Daft Punk, Justice) dans un exercice de style qui ne retombe jamais dans la relecture bas du front. » Jazz News

    « Un très beau moment. » Jazz News « Incontournable ! »

    « Stéphane Kerecki traite l’électronique en acoustique […] Ce disque s’inscrit du coup dans une vraie tradition du jazz, qui s’est toujours nourri de la musique populaire de son époque pour se réinventer. » Open Jazz

    « Quatre ans après son hommage à la Nouvelle Vague, le contre Stéphane Kerecki s’attaque à une relecture passionnante de la scène électro française sur son nouvel album, French Touch. » TSF Jazz

    « Le contrebassiste Stéphane Kerecki s’est imposé en toute discrétion comme l’un des piliers de la scène jazz made in France. Son programme autour de la Nouvelle Vague, soit les partitions associées à Louis Malle Jacques Demy, Jean-Luc Godard et François Truffaut ; remises en perspectives par son quartette,, avait mis tout le monde raccord. Le voilà de retour avec un French Touch Quartet, en compagnie d’Emile Parisien, Fabrice Moreau et Josef Dumoulin, autrement dit un des trios de têtes chercheuses comme on les aime. » La Terrasse

    « Transposer des thèmes électro pouvait sembler surréaliste, mais la French Touch encaisse le choc quitte à dérouter les tech-addicts pour mieux séduire les amateurs du jazz. » Ouest France

    « La couleur est annoncée dès le titre : reprendre en formation jazz des titres de la fameuse scène ‘French Touch’ de la fin des années 90 : Daft Punk, Phoenix, Air, Kavinsky ; Justice, M83…si l’exercice peut être périlleux, le résultat lui est en tout cas concluant. Les morceaux sont souvent méconnaissables mais offrent des variations étonnantes et singulières à des musiques pop électroniques qui sont à l’opposée de ces réinterprétations très libres. » Benzine Mag

    « La musique de ce disque est l’un des événements de cette rentrée » Blog de Choc

    « French Touch est à la fois raffiné et charnel, virtuose et émouvant, équilibré et original…Kerecki et son quartet trouvent le son juste et les phrases qui touchent. » Jazz à bâbord

    « Plongez-vous dans ‘French Touch’ sublimée par Stéphane Kerecki et son quartet. » Le Souffle Bleu

    « Entre arrangements intimistes (All I Need, Wait) et improvisations toujours inventives (Wersailles, Robot Rock), cette rencontre entre deux genres musicaux que l’on n’associerait pas forcément captive du début à la fin. » La Vie

    « Une nouvelle et convaincante preuve que le jazz «se nourrit de la musique populaire de son époque » » L’Alsace

    « Challenge parfaitement réussi, le résultat est totalement séduisant même si on ne connait ou ne goûte pas la musique des groupes cités […] N’ayons pas peur des mots : French Touch est une des plus belles réussites de cette rentrée en jazz. Son élégance formelle, la chaleur de ses interprétations, le sentiment d’un épanouissement artistique et humain…tout cela fait de ce disque un palimpeste, soit la réécriture sans faute d’un mouvement musical au profit d’un autre qui, d’époque en époque, ne cesse de s’enrichir. Indispensable !  » NouvelleVague.com

    « Débridée et cohérente, itinérante à souhait, cette relecture jette une nouvelle lumière sur la Touche française, en un jazz ardent et dévorant. » La Libre Be

    « La voie était étroite et périlleuse, mais Stéphane Kerecki s’en tire de main de maître. » Sun ship

    « Quel groove, quelle puissance tranquille, quelle confiance dans le placement harmonique… Bien plus qu’une belle rencontre de sonorités, c’est l’intensité de présence l’un à l’autre de ces deux musiciens qui nous touche. Le CHOC s’impose devant le degré de maturité atteint d’emblée par ce duo, magnifique pont entre deux générations.  »  JAZZMAN

    « Voici un disque marquant de plus à l’actif de Stéphane Kerecki : son talent de compositeur, sa virtuosité de soliste et son discernement dans le choix de ses interlocuteurs sont la marque des leaders. »  CITIZEN JAZZ

    « Pour les musiciens de jazz, le duo piano-contrebasse reste un exercice d’équilibristes, réservé aux adeptes de l’épure, ceux qui aiment danser au bord des gouffres. La conversation nocturne de Stephane Kerecki & John Taylor décrit des paysages imaginaires esquissés par la plume du contrebassiste, évoquant au passage la présence de quelques grands poètes du jazz : Bill Evans, Scott La Faro, Ornette Coleman, Paul Bley, Gary Peacock… le témoignage de cette rencontre, « Patience » a reçu le “CHOC” de l’année 2011 Jazz magazine / jazzman. »   JAZZMAN

    « Il faudrait oublier les instruments. Au sens où leur présence est telle (la phénoménale contrebasse de Stéphane Kerecki, le piano intérieur de John Taylor), si prégnante, si massive, à ce point installée dans le réel, la praxis, l’inévitable compétence, qu’il doit bien s’agir d’autre chose… » LE MONDE

    Après deux disques dédiés à la Nouvelle Vague et à la French Touche, le contrebassiste, avec un casting royal et cosmopolite, nous offre un album passionnant. (…) Il y a dans cette musique interactive l’affirmation immédiate d’un lyrisme intime et retenu magnifiquement partagé. On en redemande. Les Chocs. Jazz Magazine

    « Pour sortir du silence, Stéphane Kerecki met en scène un groupe de musiciens au sommet de leur art d’improvisateurs, dans un format qui s’inscrit dans la grande tradition des quintets à deux solistes. »Sortir du silence, oui, mais aussi, pour paraphraser Miles Davis et sa parfaite définition de la musique, savoir l’encadrer. » Un album dont l’aura est toute de sérénité. » Le Soir (Belgique). 22 mai 2022

    « Outre sa technique instrumentale phénoménale et sa haute culture musicale, il a attiré mon attention sur le fait qu’il évolue librement sur la scène jazz internationale depuis plus d’une décennie. (…) La musique est incroyablement cohérente et la narration du groupe est fluide et naturelle. Il est difficile de dire s’il s’agit de jazz américain ou européen, tant ces inspirations et ces traditions d’interprétation s’entremêlent si parfaitement. » Jazz Forum (Pologne)

    « Tour à tour, le pianiste Marc Copland et le batteur Fabrice Moreau, associés à la base mélodiste Kerecki, créent une base élastique et réactive dont le rythme sensible et nerveux contraste avec sensibilité les lignes souvent emportées des instruments à vent. » Rondo Magazine (Allemagne). 28 mai 2022

     « Le silence n’est pas l’absence de son, mais la liberté d’écouter, d’explorer, d’entendre en toute sérénité ». Voilà une phrase qui exprime en quelques mots ce qui se joue tout au long de ce nouveau disque de Stéphane Kerecki. » Citizen Jazz. 26 juin 2022

    « Le son collectif, le talent de chacun, le génie de distribution des rôles, les compositions reliées par un fil invisible garantissant un mood global continu, le côté ciel voilé de la musique toute en nuances, renforcé par un graphisme de pochette proche de ECM. (…) Un disque pour maequer les âmes, le temps présent et ceux à venir. Un joyau, une pierre blanche, une perle, pas près de l’oublier celui-là ! » La Gazette d’Action Jazz

    « (…) Casting impeccable. Marc Copland est depuis une quarantaine d’années l’un des pianistes les plus importants de la scène new-yorkaise.  Tore Brunborg envoute grâce à un son et un lyrisme hors du commun. Ralph Alessi est de l’avis de ses pairs l’un des plus brillants trompettistes de la scène internationale. Et le batteur Fabrice Moreau, son partenaire sur ses deux derniers disques, partage avec le contrebassiste depuis de longues années une solide complicité. » France Musique. 10 mai 2022

    RÉFÉRENCES

    Jazz au Fil de l’Oise – Tourcoing Jazz Festival – Jazz à la Villette – Jazz in Marciac – Nancy Jazz Pulsation – Jazz sous les Pommiers (Coutances) – Jazz d’Or Strasbourg – Jazz Festival du Mans – D’Jazz Nevers – Paris Jazz Festival

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