VOIX - JAZZ VOCAL CRÉATIF, PERFORMANCE, CLOWN
PROCHAINS CONCERTS
- 13/12/2024 : Jubila - Espace Germinal (Fosses)
- 17/12/2024 : Jubila - L’Estive Scène Nationale (Foix)
- 28/01/2025 : Le Jardin des Délices - Le Moulin du Roc - Scène Nationale (Niort)
- 20/02/2025 : Le Jardin des Délices - NDR Jazz Redaktion (Hamburg - DE)
- 07/03/2025 : Jubilä - L’Antichambre (Mordelles)
- 04/07/2025 : Le Jardin des Délices - Abbaye de Noirlac (Bruère-Allichamps)
LES PROJETS
Le Jardin des Délices (avec Valentin Ceccaldi)
En décembre 2014, Leïla Martial fit sensation lors de la soirée TSF jazz à l’Olympia, donnant une interprétation audacieuse de Left Alone, en duo avec le violoncelliste Valentin Ceccaldi. Un formidable duo était né, présenté sous le nom Le Jardin des Délices, qui a récemment enchanté de belles scènes estivales (Radio-France Montpellier, Vagues de Jazz, Süd-Tirol festival…).
Valentin Ceccaldi est un instrumentiste exceptionnel mû par une insatiable curiosité pour toutes sortes de musiques et de rencontres. Il est devenu en quelques années l’un des musiciens les plus actifs de la scène du jazz contemporain, très actif notamment au sein du Tri Collectif.
Leïla Martial voix, électronique,
Valentin Ceccaldi violoncelle.
LA PRESSE EN PARLE !
« Veillant à capter la beauté fugace du moindre son, mais toujours prêts à larguer les amarres. En quête d’un folklore imaginaire (…). » FRÉDÉRIC GOATY/JAZZ MAGAZINE
« Cela commence en douceur, avec une mélodie de Gabriel Fauré, mais l’interprétation donne déjà des signes d’extrême expressivité. C’est ensuite un crochet par le célèbre Cold Song du King Arthur de Purcell, joliment détourné. Ici encore, c’est une expression très vive qui va prévaloir. Puis l’on embarque vers une langue imaginaire à l’articulation virtuose, pas novlangue mais plutôt sonolangue où cohabiteraient des mondes de poésie sonore, de vertige lettriste, et de bruitisme très musical. » XAVIER PRÉVOST
« Sous les étoiles exactement. Une diva elfique. Côté amphithéâtre à 22h, un objet vocal jazz inclassable nommé Leila Martial a littéralement mis une claque au public…Mais quelle belle claque ! La chanteuse simplement accompagnée au violoncelle par Valentin Ceccaldi (puis son frère Théo au violon) a embarqué l’auditoire dans un voyage d’expérimentations vocales incroyables. » LA PROVENCE
« Entre onomatopées percutantes et filets de voix épurés, la chanteuse invente un langage. Tout au long de son set, dans une posture digne d’une amazone rock, le frêle Leila envoûte définitivement son auditoire. Sous les étoiles exactement. » LA PROVENCE
ÄKÄ – Free Voices of Forest
Une création musicale interculturelle initiée par Leïla Martial & Remi Leclerc à la rencontre des chanteuses et musiciens « pygmées » Aka de la forêt équatoriale de République du Congo
3 artistes français
Leïla Martial : voix, co-direction artistique
Rémi Leclerc : voix, body percussion, co-direction artistique
Eric Perez : voix, percussions
5 artistes Aka
Angélique Manongo, voix
Nadège Motambo, voix
Emilie Koule, voix
Michel Kossi, percussions
Gaston Ebe, percussions
+ Eta Sorel : traduction, ethnologue, co-directeur artistique
Ce projet est né du hasard des rencontres et une fascination commune pour les polyphonies pygmées les amènent à imaginer ce nouveau projet, dont la première étape fut un voyage d’immersion d’une durée d’un mois en décembre 2019 au cœur de la forêt équatoriale au sein d’une tribu de la communauté Aka, qui détient et vit au quotidien ce trésor musical unique au monde que sont les yodels traditionnels pygmées.
ÄKÄ est une création co-produite par Colore, Les Scènes du Jura (Scène nationale), Africolor, Musiques au Comptoir (Fontenay-sous-Bois), Centre de Création Musicale Césaré à Reims, Jazzdor, Musiques d’ici et d’ailleurs, avec le soutien de la Région Ile-de-France
LA PRESSE EN PARLE !
« Leïla Martial, funambule des cordes vocales […] L’écouter en live est impressionnant. Allez boire un bol de vertige à l’une de ses prestations scéniques. » L’HUMANITÉ
« Leïla Martial, magicienne extravagante et poignante, […] chanteuse-née qui sait passer de la douleur la plus oppressante à de grands éclats de joie libérateurs. » TÉLÉRAMA
« […] entre lyrisme clair et abstraction sonore, drame et drôlerie, elle a ravi son public et […] l’a rassemblé dans un état d’apesanteur qui ne s’est défait que tard dans la nuit […] » JAZZ MAGAZINE
« […] un espace musical qui porte en lui la marque aventureuse de l’exception. » CULTURE JAZZ
« Au palmarès des disques « hors des sentiers battus » celui-ci aurait très certainement une distinction, voir même le 1er prix ! » ELEKTRIK BAMBOO
« […] tout est dit, l’auditoire est conquis. […] Groooooos succès. » CULTURE JAZZ
« Warm Canto est certainement l’album le plus réjouissant et le plus passionnant du moment […] » PARIS-MOVE
« Ici, c’est le talent pur qui est à ressentir et qui vous emporte dans un beau, très beau voyage, dont vous ressortirez transformé, heureux et infiniment reconnaissant. » PARIS-MOVE
« Sa musique frappe autant par son intégrité que par son aisance à mêler pop et avant-garde. » TÉLÉRAMA
« Avec Eric Pérez et Pierre Tereygeol, le trio Baa Box qu’elle forme a trouvé une créativité débridée, chaleureuse et profondément humaine » CULTURE ETC
« L’une des « maîtres » confirmés d’un instrument rare : cette voix à la créativité sans bornes. » FRANCE MUSIQUE
« Singulière, barrée, pas tout à fait de notre monde, Leïla Martial ne ressemble en rien à une chanteuse de jazz. » LES INROCKUPTIBLES
« Une acrobate vocale, ancienne élève des classes jazz du collège marciacais, superbement accompagnée par de talentueux musiciens (…). Leïla se démarque nettement des chanteuses formatées que les grands labels découvrent chaque année. Forte personnalité, forte présence, à suivre avec (grande) attention. » JAZZ MAGAZINE
« Entre l’exploration électronique, l’utilisation des voix sous toutes ses formes (voix basse, bruitages, lignes mélodiques ….) et les associations de timbres, Leïla Martial, acrobate de la voix, conjugue avec brio poésie et groove. » TÉLÉRAMA
« Leïla Martial ne craint de s’aventurer dans aucun registre, puisant dans l’énergie du punk une frénésie rageuse qu’elle sait faire contraster avec des moments de grâce funambulesque ou une facétie ludique digne d’André Minvielle (…) Son cri et son humour sont de ceux qui ne vous laissent pas de marbre. » LA TERRASSE
« Son premier disque s’intitulait « Dance Floor », le second s’appelle « Baabel ». Entre l’envie d’être branchée sur l’énergie de la danse et la frénésie de la pulse d’une part, et l’ambition de forger, pour mieux chanter, une langue qui s’affranchisse du sens et parle à tous les hommes par son bruissement, on tient un peu de ce qui anime Leïla Martial. Phénomène vocal unique dans le paysage du jazz hexagonal, révélée auprès d’Anne Paceo, complice d’Emile Parisien qu’elle côtoya adolescente au collège de Marciac, elle parle, pour décrire la manière dont elle envisage son art, d’un « chant de broussaille », allant chercher dans tous les possibles expressifs de la voix matière à construire un univers de sons, qu’elle dédouble ou trafique souvent en temps réel au moyen de l’électronique. Renforcée dans l’édification de son univers par les deux partenaires de sa Baa Box, le guitariste Pierre Tereygeol et le batteur Eric Perez qui, parfois, usent eux aussi de la voix pour en tramer les textures avec la sienne, (…) on la suit dans ses pérégrinations vocales en forme de performance, observant comment chez cette véritable plasticienne sonore les éclats contrastent avec les lignes, les murmures deviennent rugissement. « Je bêle donc je suis », n’hésite-t-elle pas à dire, et son cri et son humour sont de ceux qui ne vous laissent pas de marbre. » LA TERRASSE
RÉFÉRENCES
Scènes du Jura – Les deux Scènes (Besançon) – Paris Jazz festival – Jazz sous les Pommiers – Jazz in Marciac – La Passerelle (Saint-Brieuc)
Le Fanal (St Nazaire) – Le Jardin de Verre (Cholet) – Jazz sur son 31 (Toulouse)