ROBINSON KHOURY
Révélation du jazz français
Robinson Khoury est l’une des révélations de la scène jazz. Doté d’une technique instrumentale superlative, il apporte un lyrisme XXL à toutes les mélodies dont il s’empare, autant qu’à ses incroyable improvisations.
Après Broken Lines (Coup de cœur Charles Cros en 2021), il vient de sortir l’album MŸA (Komos records) dans lequel il invente une alchimie palpitante entre jazz, sonorités moyen-orientales, musique ancienne et musique électronique.
PROCHAINS CONCERTS
LES PROJETS
BROKEN LINES
Broken Lines
Robinson Khoury : trombone,
Pierre Tereygeol : guitar, voix
Mark Priore : piano
Etienne Renard : contrebasse
Elie Martin-Charrière : batterie
Mÿa
MŸA est co-produit par Jazz sous les Pommiers, Colore, et le Petit Duc (Aix-en-Provence).
Voici un instrumentiste exceptionnel, doublé d’un excellent compositeur dont les réalisations rivalisent d’inventivité et de charme.
Repéré déjà il y a quelques années aux côtés d’Ibrahim Maalouf et de Natacha Atlas, il participe à la réussite du groupe SARAB et obtient un coup cœur de l’Académie Charles Cros pour son récent disque « Broken Lines ».
Il vient présenter en avant-première au Petit Duc un nouveau trio !
Une création onirique inspirée par les éléments et l’évolution, qui ira puiser des thématiques du côté de mélodies anciennes, de rythmes sur peaux, de chants grégoriens comme de maqâmat de la musique arabe, … et y ajoutera une dimension électronique, analogique et modulaire pour représenter l’inconnnu des temps oubliés…
Aux percussions digitales et à la voix : Anissa Nehari, musicienne au dynamisme sensible, envoutante et envoûtée par les rythmes du monde.
Au piano, synthétiseurs et voix c’est Léo Jassef, un artiste touche à tout d’une grande sensibilité qu’on a pu entendre aux côtés de Yom.
Robinson Khoury complète ce trio au trombone, différents instruments à embouchure, à la voix et au synthétiseur modulaire.
LA PRESSE EN PARLE !
« On ira écouter le jeune tromboniste Robinson Khoury, qui vient de sortir le remarquable album Mÿa, sur lequel il marie le jazz et la musique électronique avec les échos anciens des chants grégoriens et du maqâm arabe. » Télérama
« Si l’intelligence peut désormais être absolument artificielle, celle de “Mÿa” est intensément, organiquement, humaine. Parfois tribale, voire primitive, sa musique n’en est pas moins terriblement de notre temps. » France Musique
« Le jeune virtuose du trombone nous invite dans sa musique des sphères. » FIP
« Sur MŸA, pétri de la liberté qu’offre le jazz et de résonances électroniques et rétro-futuristes avec un synthé modulaire, il s’inspire aussi des traditions du Moyen-Orient de ses ancêtres comme des partitions savantes de Jean-Sébastien Bach. » FIP
« Si Mÿa est un passionnant trio de brillants instrumentistes, c’est aussi un étonnant trio vocal. » France Musique
« Il révèle la profondeur de son univers auquel mènent les chemins qui relient jazz, chanson, musiques orientales, spoken world et electro dansante et planante. Il ouvre la voie vers un territoire encore vierge, emprunt d’un mystère impénétrable, et à plus d’une reprise, touche au sublime. » CHOC JAZZMAG
« Un album qui interpelle dans sa beauté trouble et primitive et souffle avec sincérité et éloquence sur les braises d’un présent consumé. » TOP MEZZO JAZZ INDISPENSABLE JAZZ NEWS
« Drôle de trombone ce Robinson Khoury. La taille est haute, le geste, ample, l’attitude volontiers blagueuse, celle du timide qui se jette à l’eau. Avec son groupe, il plaît au jeune géant d’élaborer des mathématiques incroyables, jeux de Rubik’s Cube fascinants à pister jusque dans l’éventuel chaos surréaliste auquel ils peuvent aboutir. En supplément, la chaleur entre les musiciens inspire plus que de l’admiration, une grande sympathie. » TÉLÉRAMA – Robinson Khoury Quintet
« Un premier album l’avait consacré comme und es révélations du jazz français. Dans Broken Lines, il aborde d’autres perspectives et définit un jazz plus personnel encore. A n’en pas douter, il faut compter avec ce jeune tromboniste inventif et plein de fougue. » TÉLÉRAMA
« Deux ans après le coup d’éclat de « Frame of Mind », carte de visite en forme de melting pot de styles et d’influences, le tromboniste réussit un vrai coup de maître avec ce second opus ambitieux inspiré par les pionniers de la peinture abstraite, de Picasso à Kandinsky. » CHOC JAZZ MAGAZINE
« À la tête d’un quintette complice, interactif, composé d’amis du même âge, le tromboniste de 27 ans y explore de nouvelles facettes expressives et allume des réjouissantes flambées expressionnistes faites de changements de rythme, sautes d’humeur, jeux de contrastes, variations d’intensité, collections de timbres et d’alliages sonores inédits. Il y a dans son jeu et toute sa musique un emballement lyrique magnifiquement maîtrisé, forcément contagieux. Comment ne pas être d’emblée envoûté par le son de Robinson ? Déjà une signature, à savoir une sonorité de trombone ample et puissante, chaudement cuivrée, tout à la fois grasse et moelleuse, riche en harmoniques fauves, ronde et longue en bouche comme un bon vin. Doué d’une articulation fluide héritée de J.J. Johnson, nourri d’un fort bagage technique tout à la fois classique et jazz, le tromboniste viennois (Isère) à chaque plage de l’album, toutes différentes et surprenantes, chante et enchante à travers son instrument mais aussi sur deux titres en anglais avec sa propre voix, douce et tendre, délicieusement timbrée. » CHOC JAZZ MAGAZINE
RÉFÉRENCES
Clusone Jazz Festival
Jazz au Fil de l’Oise – JazzContreband – Ronnie Scotts (London) – Jazz à Vienne – North Sea Jazz (Rotterdam)
BBC Proms (Londres) – Jazz in Bremen –Philharmonie Köln