LAURA PERRUDIN

En collaboration avec Azimuth production sur le réseau musiques actuelles

CHANT, HARPE, ÉLECTRONIQUE
JAZZ HYBRIDE ENTRE CHANSON, FOLK, ELECTRO, HIP-HOP

www.lauraperrudinmusic.com

Chanteuse et harpiste, compositrice, productrice et auteure, Laura PERRUDIN s’est faite connaître en 2015, avec son premier album Impressions, largement salué par la presse : Sélection du Monde, de FIP, des Inrocks ou encore de la BBC.

Nourrie par le jazz depuis l’enfance, Laura PERRUDIN étudie très tôt la musique classique, puis s’intéresse aux musiques électroniques et traditionnelles, à la soul et au hip-hop… Elle se forme auprès de nombreux musiciens de sa Bretagne natale avant que ses pas ne la portent vers d’autres rencontres à Paris, New-York ou en Irlande.

S’accompagnant à la harpe, acoustique, dans une ambiance folk ou électrique, elle évolue en funambule sur les fils qui relient la pop à l’expérimental, la profondeur des grooves à l’onirique des textures hallucinatoires, le pictural au narratif, la spontanéité du live aux détails obsessionnels de ses productions électroniques.

Son deuxième album Poisons & Antidotes paru en septembre 2017 l’a clairement installée parmi les artistes « crossover » les plus en vue de la scène actuelle, « une exploratrice de premier plan à la voix enchanteresse » (Jazz à La Villette) adoubée par des scènes aussi prestigieuses et variées que Les Trans musicales de Rennes, Le Mama, Jazz à Vienne Détours de Babel, Winter Jazz festival de New-York, Le Chainon Manquant…

En septembre 2020 paraît son troisième album « Perspectives & Avatars » creusant le sillon d’une pop, de plus en plus soul, électrique et dansante, qui convie de prestigieux invités : Philippe Katherine, Emel Mathlouthi, Becca Stevens, Mélissa Laveaux…

Très présente en solo ces dernières saisons, elle s’associe néanmoins volontiers à de magnifiques partenaires tels Louis Winsberg, Théo Ceccaldi, Michel Benita

PROCHAINS CONCERTS

    Jazz à la Villette

    LES PROJETS

    DUO DOUFLE HELIS AVEC SALAMI ROSE JOE LOUIS

    C’est par un heureux hasard que la bretonne Laura Perrudin découvre la musique de la californienne Salami Rose Joe Louis au détour d’un concert parisien. Toutes deux instrumentistes, chanteuses, compositrices et productrices de musiques électroniques, toutes deux aussi influencées par le jazz, le hip-hop et la soul que par la recherche sonore expérimentale et la science-fiction, les deux musiciennes semblent tout de suite étrangement familières l’une à l’autre malgré les milliers de kilomètres qui séparent la Bretagne de la baie de San Francisco. Rapidement, l’idée d’une collaboration à distance émerge et prend la forme d’une double hélice : chacune envoie un son à l’autre qui le transforme et le développe puis le renvoie à son expéditrice, et cela jusqu’à ce que se déploie entre elles un univers sonore luxuriant et cosmique.

    LA PRESSE EN PARLE !

    « Hier 5 novembre, la harpiste Laura Perrudin, le contrebassiste Michel Benita et le batteur Michele Rabbia présentaient le résultat de trois journées de travail en résidence au Triton des Lilas.

    Et les voici donc tous trois réunis sur la petite scène de la salle 1 du “club” lilasien, à une station de métro de Paris. Il y a quelques années, alors que Laura Perrudin était une inconnue, après avoir visité son site, Michel Benita et moi avions échangé par mail à son propos, moi plutôt interpelé par son aisance, dans le cadre du jazz, sur une harpe d’une genre nouveau, Benita plus intrigué par son rapport à l’électronique.

    Finalement, c’est tout ça Laura Perrudin: la harpe, l’électronique, plus la composition et la voix qui chante ses propres textes et ceux des autres qu’elle effleure d’un phrasé mélismatique ornementant longuement les voyelles. Et dans “voyelles”, il y a “voix” et “ailes”.

    Or, ce soir, l’électronique, ce ne sera pas elle… sa harpe électronique a subi des dommages en avion. Et dans la pièce d’ouverture, Back From the Moon qui sert également d’ouverture à l’album de Michel Benita (“River Silver”, ECM, 2016), c’est l’improvisatrice qui s’impose, doublant sa harpe avec sa voix. Une improvisatrice qui a renoncé au jazz comme port d’attache (point de standards… que l’on peut regretter tant elle sait les transfigurer ; pas de phrasé bebop… on l’a entendu autrefois jouer du Tad Dameron, mais ça n’est pas sa vocation) mais, dans cette première pièce, on voit bien quelle école le jazz a été pour elle (plus qu’une école, une langue vivante, puisqu’elle dit l’avoir découvert enfant à l’écoute de Wayne Shorter) : un sens de l’initiative mélodique et harmonique qui l’invite à déjouer la linéarité de l’improvisation modale par des angularités bien à elle et un sens du phrasé, du tempo et de la syncopation dont l’origine ne fait aucun mystère.

    Dans ce programme en trio, les trois musiciens se partageront la signature des morceaux selon des lignes de partage apparaît d’emblée ce qui rapproche Laura Perrudin de Michel Benita et de l’univers qu’il a développé à travers ses projets “Ramblin’” et “Ethics”, où l’on voit bien ce qui peut les attirer vers la gestuelle minimale, quasi chamanique, de Michele Rabbia sur la batterie (on parlera ici plus de percussions que de batterie au sens où l’on l’entend le jazz, même s’il sait installer un groove), mais où un hiatus restera à combler, apparent dès l’introduction électronique de Rabbia à Back From the Moon, entre Benita plus coutumier d’une électronique soft (dont il ne restera ce soir que quelques bourdons) et l’approche de Rabbia plus “hirsute”, plus “abstraite” (ou plus “concrète” pour reprendre les termes de Pierre Schaeffer). En effet, par ses traitements sonores en direct de la musique de ses comparses, son recours relatif à l’aléatoire de programmes, ses banques de son (je nomme ainsi ce que j’ai cru entendre hier) qui se confondent avec son jeu tintinnabulant ou fracassant, Michele Rabbia se découvre à moi comme un héritier des Déserts d’Edgard Varèse et des pionniers du GRM (Groupe de recherche musicale), héritage qu’il fait sien avec des gestes d’improvisateurs – étrangers à ces pionniers – tout à fait fascinants et qui relèvent d’une sorte de don d’ubiquité, lorsqu’on le voit tenir un tempo ou colorer la musique de ses nombreux accessoires acoustiques, tout en manipulant les polyphonies de sa “jungle électronique”.
    Et face à ce monde sonore, qui se suffit presque à lui-même, on attendrait plus un Barry Guy ou une Joëlle Léandre qu’un Michel Bénita qui semblait hier un peu “interdit”. » Compte-rendu de concert par Franck Bergerot – Jazzmagazine

    PERSPECTIVES & AVATARS – Solo / Harpe Électrique

    Avec son nouvel album « Perspectives & Avatars », à paraître en 2020, Laura Perrudin creuse le sillon d’une pop, de plus en plus soul, électrique et dansante. Sa poésie franche et sans détour dessine un jeu de rôles, de points de vues et de masques. Caméra subjective au poing, Laura Perrudin raconte les considérations existentielles et les obsessions d’un loup, d’un nuage, d’une chanson, d’une enquête de satisfaction ou encore d’une sorcière s’apprêtant à être brulée vive. Album de chansons aux collaborations prestigieuses : Philippe Katerine, Mélissa Laveaux, Becca Stevens, Emel Mathlouthi, Becca Stevens, Ian Chang (Son Lux, Moses Sumney)… il s’appuie sur un concept d’écriture où chaque chanson est un personnage, un avatar.

    Laura Perrudin chant, harpe électrique, électronique, Jeremy Rouault son, production, Thibaut Galmiche création lumière.

    IMPRESSIONS – Solo / Harpe Acoustique

    Sur son premier album, Laura présente un répertoire aux couleurs folk et jazz. Ses compositions sophistiquées s’inspirent notamment de textes oniriques de poètes anglais.

    Laura Perrudin chant, harpe acoustique, Jeremy Rouault son, production,

    LAURA PERRUDIN & LOUIS WINSBERG

    Un duo magique au royaume des cordes pincées où Louis Winsberg utilise une étonnante palette d’instruments et compose avec toutes les influences jazz, flamenco pour aller à la rencontre de l’univers de Laura et revisiter quelques standards de jazz intemporels.

    Laura Perrudin chant, harpe acoustique, Louis Winsberg guitares, mandolines

    DOKSHA – Création

    Après une centaine de concerts de son programme solo « Poisons & Antidotes », où l’on découvrait un talent majeur d’autrice, chanteuse, harpiste et productrice, Laura Perrudin présentera ces prochains mois un nouveau répertoire et un nouveau groupe.

    Cross-over et créatif à la lisière d’univers jazz, soul, hip-hop, expérimental, dans un format chanson ! Des textes (en français et en anglais) composés lors d’une résidence new-yorkaise sur le thème des périls écologiques et idéologiques de notre époque, relevés d’une note d’humour d’inspiration shadokienne !

    THE SIBERIAN TROMBINOSCOPE – Création Danse

    Laura Perrudin est invitée par les deux chorégraphes et interprêtes de la Cie Pilot Fishes, Alina Bilokon & Léa Rault, à composer et participer à la nouvelle pièce chorégraphique « The Siberian Trombinoscope ». Création en février 2019 à Rennes, Pordic et Vannes.

    Conception : Alina Bilokon & Léa Rault
    Création & Interprétation : Alina Bilokon, Laura Perrudin, Léa Rault & Jérémy Rouault

    LA PRESSE EN PARLE !

    « Funambule des cordes et de la voix, portée par la recherche sonore, elle développe en solo, sous le titre « Poisons and Antidotes », un ensemble de chansons au charme vénéneux, dont les grooves hypnotiques, les textures mouvantes et la puissance du verbe, en français aussi bien qu’en anglais, ont le pouvoir envoûtant d’un philtre magique. (…) On devine le tempérament d’une créatrice obstinée, qui a appris à maîtriser sa large palette dont les couleurs tirent aussi bien vers Björk, avec qui elle entretient plus d’une parenté, que vers la nu-soul d’Erykah Badu, les tramages de textures à la Flying Lotus ou encore les collages électroniques d’un Amon Tobin. » LA TERRASSE

    « Laura Perrudin évacue [les stéréotypes] d’une pichenette dès son premier album solo. Non contente de soumettre des textes de Yeats, Joyce et Shakespeare à ses contorsions vocales et harmoniques, la jeune iconoclaste embarque le jazz dans des sauts d’intervalles contemporains, des grooves r’n’b ou d’insolubles ambiguïtés modales. On s’étourdit ainsi aux mille jeux d’une artiste-équilibriste, à sa radicalité gaie et spontanée toute moderne. » LES INROCKS

    « Quand la musique électronique est à ce point vivante et organique, c’est tout simplement fascinant. » CITIZEN JAZZ

    « Laura mêle avec élégance et beaucoup d’imagination un groove profond aux textures les plus oniriques. » CULTURE BOX

    « Avec son titre « The Ceiling’s Maze », la chanteuse et harpiste bretonne continue d’émerveiller et laisse présager un album d’une grande richesse. (…) Des prouesses vocales et une signature qui ne sont pas sans rappeler la diva du jazz sud-coréenne Youn Sun Nah. Associée au son de la harpe, sa voix fait aussi écho à une autre grande artiste : la chanteuse islandaise Björk. Que ce soit sur le plan mélodique ou sur le plan instrumental, la parenté est patente. » FIP

    « Avec une voix chaude et aérienne, elle nous fait voyager un peu partout et on redécouvre avec elle ce magnifique instrument qu’est la harpe loin des clichés qui lui sont d’habitude associés. C’est un petit peu comme si Björk avait croisé Herbie Hancock dans un pub de Dublin avant un concert de John McLaughlin. » FIP CLASSIC BAZAR

    « Laura Perrudin évacue [les stéréotypes] d’une pichenette dès son premier album solo. Non contente de soumettre des textes de Yeats, Joyce et Shakespeare à ses contorsions vocales et harmoniques, la jeune iconoclaste embarque le jazz dans des sauts d’intervalles contemporains, des grooves r’n’b ou d’insolubles ambiguïtés modales. On s’étourdit ainsi aux mille jeux d’une artiste-équilibriste, à sa radicalité gaie et spontanée toute moderne. » LES INROCKS

    « Tout concourt : Laura Perrudin donne à entendre une pensée, un univers, un être. » FRANCIS MARMANDE, LE MONDE

    « La musicienne au chant cristallin nous embarque dans son univers musical riche, entre mondes réels et imaginaires, où le jazz cohabite avec les univers électro et pop folk. » CLUB JAZZAFIP

    « Dans la bouche de la jeune bretonne, la musique sonne comme une histoire physiologique. Une affaire de textures et de matériaux (…) Son jeu à la harpe a fait dresser l’oreille à plus d’un spectateur tant il est (sur)prenant, à l’écart des sentiers battus. Plein d’énergie ou intimiste, très mélodique ou furieusement rythmique, la palette est étendue. »

    « Tout cela dénote un univers singulier et une personnalité déjà affirmée chez une aussi jeune artiste. » CITIZEN JAZZ

    « le jazz de la harpiste Laura Perrudin fascine par son intelligence, son raffinement et sa modernité. » OUEST FRANCE

    « J’ai l’impression d’y retrouver le groove et la voix d’Esperanza Spalding ayant troqué sa contrebasse pour une harpe celtique. » LES CHRONIQUES DE HIKO

    « Une écriture remarquable à laquelle elle allie la voix évanescente et la sensualité des chanteuses modernes. On pense à Joni Mitchell ou à Gretchen Parlato (…) la grâce et la poésie des arrangements superbes lui permettent de déambuler entre les harmonies et les dissonances, avec l’agilité d’un chat passant de toit en toit. » LES DERNIÈRES NOUVELLES DU JAZZ

    « Il y a chez la harpiste Laura Perrudin une sérénité frappante pour une si jeune artiste. Sûre de son art, elle développe un répertoire des plus originaux. » DJAM

    RÉFÉRENCES

    Jazz au Fil de l’Oise – Jazz à la Villette – Nancy Jazz Pulsations – D’Jazz Nevers – Paris Jazz Festival – Le Parvis, Tarbes – L’Estran (Guidel) – Transmusicales de Rennes – Mama – Théâtre de Cornouailles – Le Plan (Ris-Orangis) – Le Brise-Glace (Annecy) – La Passerelle (Sint-Brieuc) – Pop-Kultur (Berlin) – Antipode (Rennes) – Nouvelle Vague (Saint-Malo) – Astrada (Marciac)

     

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