CÉLINE BONACINA

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Céline Bonacina est une jazzwoman au propos musical original (un jazz créole?) et à l’irrésistible énergie !

Nominée aux Victoires du Jazz en 2012, Talent Jazz Adami en 2013, Lauréate du Tremplin Rezzo Jazz à Vienne, elle fait partie des valeurs sûres de la scène jazz.

Après un séjour fondateur sur l’Ile de la Réunion, elle a inventé, autour de son saxophone baryton, un univers multicolore qui invite à la danse. Récompensée par la critique et ovationnée sur de grandes scènes, elle poursuit son parcours avec une vitalité impressionnante.

Après deux albums sur le label ACT réalisés en connivence avec le guitariste Nguyên Lê, dans une veine groove et électrique, elle présentait en 2016 un nouveau quartet acoustique, résolument jazz, mais toujours original, entourée de musiciens de renommée internationale (dont Gwilym Simcock, devenu depuis le pianiste de Pat Metheny), et soutenue par le label Cristal Records.

Trois ans après (automne 2019) c’était un nouveau groupe et nouvel album, intitulé Fly Fly avec Chris Jennings (contrebasse) et Jean-Luc di Fraya (batterie et chant) qui rentrait en scène…

Puis, en 2020, à l’invitation de Le Mans Jazz Festival naît un duo explosif avec le virtuose des saxophones et clarinettes, Laurent DEHORS, bientôt également plébiscité sur les scènes de D’Jazz Nevers, Jazzebre, Jazz à Vienne…

En 2022 et 2023 Céline Bonacina est très en vue dans fameux Ladies All Stars de l’organiste Rhoda Scott, mais cela ne l’empêche pas de préparer un nouveau coup de maître ! Son nouvel album JUMP ! (Cristal Records – septembre 2023) sera défendu par un groupe éponyme, dans lequel on deux artistes américains et un franco-canadien : Rachel Eckroth aux claviers, John Hadfield, à la batterie, et Chris Jennings à la contrebasse. Nouveau ton ! (un clin d’œil au courant du jazz fusion américain), toujours autant de finesse et de  dynamisme !

Parallèlement, son trio fondateur avec Hary Ratsimbazafy (batterie) et Olivier Carole (basse électrique) reste actif et devient le terrain de multiples rencontres… dont l’ambitieux projet de création pédagogique Megapulse Orchestra.

 » Posé sur une rythmique solide et inventive, le saxophone baryton (et parfois soprano)complète ce trio subtil et soudé, d’une belle et fluide sonorité collective auquel vient s’ajouter la guitare tendue et électrisante de Pierre Durand sur cinq des treize titres » JAZZ MAGAZINE

 » La saxophoniste aborde sa musique comme un plaisir simple, mais primordial et Chris Jennnings sert parfaitement cette volonté, que ce soit par son jeu à la contrebasse ou par ses compossitions. Simplement beau.  » JAZZ NEWS

 » Une jeune femme toute frêle embouche le gros saxophone baryton et le jazz jaillit avec ferveur et invention.  » TÉLÉRAMA

 » Si vous avez aimez toutes les époques discographiques de Céline Bonacina, « Fly Fly », boulversera – dans le bon sens – vos émotions.  » PARIS MOVE

 » On ne se lasse pas de voyager au gré des paysages colorés du magique Fly Fly où l’énergie des rythmiques vivifiantes coexiste avec la douceur des climats oniriques.  » LATINS DE JAZZ

 » Avec ce cinquième album “Fly Fly” qui paraît chez Cristal, on retrouve les fondamentaux du style de Céline Bonacina, un jazz mélodique constamment porté par des rythmes vivifiants. Les titres de ses albums traduisent ce perpétuel mouvement entre intériorité et énergie…  » OPEN JAZZ

« Associée à un charme qui, d’emblée, tient du sortilège, il y a là une profondeur d’expression qui m’a beaucoup séduit : le pouvoir de dire, la poésie du discours… »  FRANCE MUSIQUE

 » Elle a la voix fluide de son alto, le verbe posé de son baryton, la gaîté volatile de son soprano. (…) Une véhémence harmonieuse, une douceur aventureuse…
Elle a tout pour faire parler d’elle : femme et saxophoniste (ce qui n’est plus une rareté), femme saxophoniste baryton (ce qui l’est davantage). On n’insistera sur son apparence trompeuse mais on ne l’oubliera pas : sa « menuité » est l’enveloppe d’une énergie toujours contrôlée et particulièrement communicative. Une énergie vitale. Car Céline est une musicienne qui a quelque chose à dire. Après un séjour fondateur à la Réunion, voilà qu’elle transporte ses voix (saxophones alto et soprano accompagnent le baryton dans ses voyages) dans un monde du jazz qui joue les blasés mais qu’elle continue d’étonner. Et c’est d’un certain bonheur à être qu’elle nous parle. Le contraire d’une mièvrerie, croyez-moi. Imaginez une boxeuse (oui, il y en a) qui, au lieu de lancer ses poings, jetterait des fleurs. Des fleurs de toutes les couleurs, des fleurs qui ne manquent pas de piquant, des fleurs exotiques, des fleurs qui nous rappellent qu’il fait bon vivre, malgré tout.  » JAZZ MAGAZINE

 » Une jeune femme toute frêle embouche le gros saxophone baryton et le jazz jaillit avec ferveur et invention.  » TÉLÉRAMA

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